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Les drames des meutres d' enfants...

par Les hirondelles 31 Juillet 2010, 04:46 Incroyable-Chuyện lạ...

 

La mère infanticide mise en examen pour le meurtre de ses huit bébés

Le père a été remis en liberté : il n'a jamais su que «sa femme était enceinte ni qu'elle s'était débarrassée des enfants», a indiqué le procureur de Douai (Nord).

Dominique Cottrez, (Nord), a été mise en examen ce jeudi par un juge d'instruction de Douai, pour «homicides volontaires de mineurs de moins de 15 ans». 

Agée de 47 ans, cette aide-soignante a été écrouée. Elle encourt ainsi la réclusion à perpétuité. «Une affaire hors-normes compte tenu du nombre important de nouveau-nés», a souligné le procureur de Douai, Eric Vaillant.

Selon le magistrat, la mère n'a pas invoqué le déni de grossesse durant sa garde à vue, affirmant qu'elle se savait chaque fois, enceinte. Mme Cottrez a reconnu avoir «volontairement étouffé les nouveau-nés à la naissance», a-t-il précisé.

Le mari de la mère infanticide, Pierre-Marie, 45 ans, a été remis en liberté. Il n'a pas été mis en examen pour «non dénonciation de crimes et recels de cadavres», comme l'avait requis le parquet. Il a été entendu en qualité de témoin assisté avant d'être laissé libre. Ce charpentier de métier, a indiqué aux enquêteurs «n'avoir jamais su que sa femme était enceinte ni qu'elle s'était débarrassée des enfants», a indiqué le procureur. Son épouse l'avait auparavant assuré aux enquêteurs.

Elle ne voulait plus voir de médecin

Après la naissance des deux filles du couple, aujourd'hui âgées d'une vingtaine d'années, Dominique Cottrez «ne voulait plus d'enfant», selon le magistrat. Son premier accouchement s'étant «mal passé du fait de sa forte corpulence», elle ne voulait plus voir de médecin, pas même pour obtenir un moyen de contraception.

Des expertises devront être ordonnées pour connaître son degré de responsabilité pénale. Elle a d'ores et déjà exprimé des regrets et a assuré qu'il n'y avait «pas d'autre cadavre caché».

Aucune trace de coups

Les corps des enfants, nés entre 1989 et 2006/2007, ne présentent aucune trace de coups, selon les premiers résultats d'autopsies.

Samedi, les nouveaux propriétaires d'une maison, qui appartenait auparavant aux parents de Dominique Cottrez, avaient fait la première découverte macabre dans leur jardin. Alors qu'ils s'apprêtaient à replanter un arbre, ils sont tombés sur les ossements de deux nouveau-nés dans des sacs plastique enfouis sous terre. Sous le choc, ils ont aussitôt alerté la gendarmerie. Les enquêteurs, aidés de cinq chiens et deux maîtres-chien, ont ensuite mené des recherches dans la maison des parents présumés, située un peu plus loin, où ils ont retrouvé six nouveaux cadavres dans le garage. Sur les indications de Dominique Cottrez lors de sa garde à vue.

«Si on peut faire quelques choses pour les aider...»

Dans le village de Villers-au-Tertre, sonné, on loue la disponibilité de Pierre-Marie Cottrez, investi dans la vie de la commune de 650 habitants et jamais avare de son temps pour les autres. Il faisait partie du conseil municipal. Sa femme est présentée comme plus réservée, mais peu de gens la condamnent. Gabriel Dewalle, un voisin qui les connaît de longue date, a assuré au Parisien.fr que «si on peut faire quelques choses pour les aider, on le fera, notamment pour protéger les enfants et les petits-enfants».

Jeudi matin, le curé de Fressain, l'abbé Robert Meignotte, a disposé huit petites bougies devant le portail de la maison où six des huit dépouilles ont été retrouvées. «Je suis très ému, je baptise cinq enfants tous les dimanche dans les 17 villages de la paroisse. On ne jette pas des enfants comme ça dans des sacs poubelle. On ne comprend pas», a expliqué l'abbé aux journalistes.

Leparisien.fr

 

  Un bébé de 14 mois survit à une chute de cinq étages

Une petite fille de 14 mois a été retrouvée miraculeusement indemne jeudi soir après une chute du cinquième étage d'un immeuble de Montrouge (Hauts-de-Seine).

Un immeuble

Photo : Spencer Platt/AFP/Getty Images/Archives

Et si les chats n'étaient pas les seuls à toujours retomber sur leurs pattes ? C'est en tout cas une sorte de miracle qui s'est produit jeudi soir à Montrouge, dans les Hauts-de-Seine, où une petite fille de 14 mois a été retrouvée indemne après avoir chuté du cinquième étage de son immeuble. Elle a ensuite été transportée à l'hôpital Armand-Trousseau pour y subir une batterie d'examens

Au moment de ce qui aurait pu être un drame, aux alentours de 21h30, la très jeune Laura jouait paisiblement dans la chambre de ses parents. Sa mère, qui se trouvait alors dans la cuisine, a raconté à la police que l'enfant a escaladé le lit familial pour se hisser jusqu'au rebord de la fenêtre. Avant de tomber dans le vide.

"La petite a fait une chute de cinq étages, soit une hauteur de douze mètres", précise une source policière. Ce sont en fait les plantations situées au pied de l'immeuble qui ont amorti le choc. "Les pompiers l'ont retrouvée dans les buissons." En train de dormir ?

 

 

Le bébé momifié bouleverse Excenevex

INFANTICIDE | Le cadavre d’un nouveau-né a été retrouvé lundi au pied d’une maison dans la commune d’Excenevex, en France voisine. Le silence est lourd dans ce village touristique.

© Patrick Gilliéron Lopreno | La maison à Excenevex, près d’Yvoire, où, sous le balcon, un nourrisson momifié a été retrouvé dans un sac à dos, abandonné là par on sait qui.


LUCIE BARRAS EXCENEVEX | 30.07.2010 | 00:00

«Je ne savais même pas qu’un drame avait eu lieu!» Roger vient d’arriver à Excenevex pour passer ses vacances. Dans leur enquête sur la mort d’un nourrisson retrouvé momifié dans un sac à dos sous le balcon de la maison d’en face, les gendarmes puis les journalistes locaux ont interrogé Roger et tout le voisinage. «Ce sont eux qui me l’ont annoncé lundi», raconte Alice Vaudaux, une retraitée qui n’en revient toujours pas.

Dans cette commune des bords du Léman, près d’Yvoire, une retraitée lyonnaise de 67 ans, avait bien remarqué la présence d’un sac à dos sous le balcon de sa résidence secondaire. Mais, croyant que quelqu’un l’avait oublié, elle ne s’en est pas inquiétée outre mesure. Cette matinée-là, pourtant, une forte odeur se dégageait du sac. C’est là que la propriétaire de la maison a découvert le corps, enveloppé dans un linge et desséché par la chaleur.

Selon les premières constatations, le nouveau-né était mort depuis près de trois semaines. Par où commencer l’enquête, lorsqu’il n’y a aucun indice? Les enquêteurs ont sondé les pharmacies alentour, pour savoir si des médicaments pour stopper les montées de lait avaient été vendus récemment. Le propriétaire de la Pharmacie du Chablais, à Douvaine, est formel: «Ces produits se vendent peu, et doivent être prescrits sur ordonnance. Personne ne m’en a présenté. La personne recherchée n’est pas passée par chez nous.» Il ajoute: «La police n’a peut-être pas de piste, mais je doute qu’elle trouve quoi que ce soit chez un pharmacien.»

Hier matin, l’agitation causée par la macabre découverte et le ballet de voitures de gendarmes, était retombée.
 

Un havre de paix

Chemin de Ceresy, cela sent à nouveau l’herbe fraîche et les vacances. Un havre de paix. D’ailleurs, la plupart des portails de résidences secondaires sont cadenassés. Pas celle du numéro 174. L’entrée du jardin est grand ouverte. Au bout du chemin, le balcon où le sac a été découvert.

A Excenevex, les habitants ont une réaction commune: méfiance. Réponse unanime: «Personne ne sait rien.» Ni sur le sac, ni sur la résidente saisonnière.

«La police est venue pour une enquête de voisinage. Les occupants de la maison sont des touristes, je ne sais pas s’ils ont préféré partir. Croyez-vous que je m’occupe de tout le voisinage?» s’agace un riverain.

Le Parquet du Tribunal de Thonon-les-Bains a confié l’affaire au pôle de l’instruction d’Annecy, en Haute-Savoie. Une information judiciaire a été ouverte pour «homicide». Le corps de l’enfant a été retrouvé dans un si mauvais état qu’aucune autopsie n’a été possible. Son sexe n’a d’ailleurs pas pu être identifié.

 

Elle tue ses jumeaux de 11 ans et se suicide
Une mère de famille de 40 ans s’est suicidée dans un champ du Val-d’Oise après avoir tué ses deux enfants, révèle «le Parisien» - «Aujourd'hui en France» dans son édition de mardi. C’est un ouvrier agricole qui a donné l’alerte.

Une voiture en pleine campagne, au beau milieu d’un champ, à l’écart des habitations. Dans ce paysage de carte postale du Vexin, dans le Val-d’Oise, à la croisée des chemins des villages d’Omerville, Ambleville et Saint-Gervais, le Renault Scénic ne passe pas inaperçu. Il est tôt ce lundi 12 juillet.

Intrigué, un ouvrier agricole qui a déjà remarqué le véhicule la veille, s’approche.

 

Immédiatement, il part en courant prévenir les secours. A l’intérieur de la voiture, trois corps sans vie. Ceux d’une mère de famille âgée de 40 ans et de ses deux enfants. Elle a tué ses fils âgés de 11 ans, des jumeaux, avant de se donner la mort.

Elle recouvre leur corps d’un linge et dispose des fleurs

L’arme à feu qu’elle a utilisée est retrouvée sur les lieux. Après avoir tiré sur ses enfants, cette mère a recouvert leurs corps d’un linge puis disposé des fleurs. Les gendarmes de la brigade de Magny-en-Vexin (Val-d’Oise) puis les enquêteurs de la section de recherches de Versailles (Yvelines) sont rapidement dépêchés sur place. Ils identifient sans difficulté les membres de cette famille puisqu’ils faisaient l’objet d’un signalement pour disparition inquiétante depuis le samedi 10 juillet.

Ce jour-là, cette maman, domiciliée dans les Yvelines, avait quitté sa maison en compagnie de ses jumeaux afin de les conduire dans un parc d’attractions de la région pour la journée. Seul le père de famille reste au domicile. C’est lui qui va donner l’alerte le soir même quand il constate que sa femme et ses enfants ne rentrent pas. Le drame se serait vraisemblablement déroulé dans la nuit du 11 au 12 juillet. L’autopsie pratiquée sur les corps des trois victimes confirme l’hypothèse avancée par les enquêteurs qui ont conclu au suicide. D’autres éléments retrouvés par les gendarmes sont également allés dans ce sens.

Reste un homme accablé de douleur. Avant de vivre ce drame inouï, le père et époux en a vécu un autre, qu’il porte dans sa chair. Professionnel de la défense, il avait réchappé de peu à la mort lors d’un accident au cours d’une mission à l’étranger. Il est depuis handicapé.

 

Une mère empoisonne ses deux enfants

Le procès de Maria Debard s'est ouvert ce lundi en Savoie. Elle est accusée d'avoir tué ses deux enfants en leur faisant absorber des médicaments. Le verdict sera rendu mardi.

 

Une mère de 27 ans a reconnu avoir fait avaler antidépresseurs et neuroleptiques à son nourrisson et à sa fille de quatre ans pour les "endormir", mais sans avoir eu l'intention de les tuer, lundi au premier jour de son procès devant les assises de Savoie. "Je pensais pas que ça allait les décéder", a déclaré Maria Jessie Debard, mère au foyer analphabète issue de la communauté des gens du voyage sédentarisée en Savoie. Elle comparaît pour avoir, entre janvier et août 2006, empoisonné Promesse, un mois et demi, et Kimberley, quatre ans, et intoxiqué son aînée, Mandy, cinq ans, qui a survécu...

Figée et inexpressive, l'accusée, dépressive et sous anxiolytiques depuis une dizaine d'années, a tout d'abord reconnu avoir mis les médicaments dans le biberon de Promesse, décédée des suites d'une surdose d'anxiolytiques et d'antidépresseurs. "Le soir, j'avais bu beaucoup de cachets. J'étais pas bien du tout", a dit Mme Debard. Promesse "ne voulait pas dormir. Je l'ai refoutue dans son lit. Je lui ai donnée des gouttes", "juste pour qu'elle dorme, elle ne s'est pas réveillée", a-t-elle poursuivi d'une voix monocorde.

archive le 07.05.2009

 

... Et encore d'autre...à la prochaine ?

On croit que ce que certains ne comprennent pas, c'est qu'un parent dépressif qui se suicide est généralement tellement hors de la réalité qu'il est justement incapable de raisonner en termes de "les enfants ont une chance d'être heureux, ils ont la vie devant eux" etc. Beaucoup de femmes qui réchappent du suicide diront qu'elles voulaient "emmener leurs enfants avec eux", elles n'y pensent pas comme à un meurtre. Elles ont l'impression que ce monde est tellement monstrueux qu'elles rendent service à leurs enfants en les tuant, elles croient leur épargner ainsi leur propre malheur. C'est un drame du désespoir et de la dépression, soit rien à voir avec l'égoïsme.

 

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commentaires
G
<br /> <br /> Donc, une mère dépressive qui tue ces enfants, dans son esprit, c'est pour "leur rendre service" et bientôt, il ne faudrait pas la blâmer.<br /> <br /> <br /> Par contre, un père qui fait la même chose est un monstre, bien sûr...<br /> <br /> <br /> <br />
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