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Le Bouddhisme: Voie Vers La Lumière /CHAPITRE I: QU'EST-CE LE BOUDDHISME

par Les hirondelles 9 Juin 2010, 22:21 Musée -Expo. -Livres

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                 CHAPITRE I

  "L'eau de la mer n'a qu'une sapidité: la sapidité du sel.

"Mon enseignement n'a qu'une saveur; la saveur de la libérartion."
Le Bouddha Çakya Mounl


.
QU'EST-CE LE BOUDDHISME.
A/-LA DOCTRINE.

           SECTION 1
LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ.

Le Bouddhisme est une voie spirituelle. H conduit au Royaume du Bouddha où l'on vit éternellement dans la paix, la joie et le bonheur.
On donne à ce Royaume le nom de Nirvana 1 . Au Nirvana il n'y a ni souffrance, ni maladie, ni vieillesse, ni mort. Celui qui y parvient ne renaîtra pas sur terre: il sera à jamais libéré de la vie étriquée» pénible et ignorante d'ici-bas.  Pour cette raison, le Bouddhisme est encore appelé la Voie de Libération, ou la Voie de Connaissance. Voie de Connaissance parce qu'elle fait connaître l'origine de l'existence humaine et la cause de la souffrance, de la mort et des renaissances sur terre.
  
Quand on connaît parfaitement cette cause, on peut l'éviter, la détruire et ne plus la créer. On devient alors

 

  Niết - Bàn (vietnamien), Nlbbana (pâli). Nirvana (sanscrit).
absolument maître de sa destinée et éternellement heureux.

   Le Bouddha Çakya Mouni enseigne à l'humanité la Voie conduisant à la Libération de la souffrance et à la Connaissance de la Vérité: son enseignement, conservé jusqu'à ce jour dans les Écritures, est extrêmement vaste. Afin d'en donner un bref aperçu, facile à comprendre, nous essayons de dégager de cette immense littérature spirituelle deux parties:
a/- la Doctrine et
b/- les Disciplines (ou Techniques spirituelles).
Dans la Doctrine, le Bouddha expose un certain nombre de vérités universelles. Celles-ci sont des lois naturelles qui régissent tous les êtres et toutes les choses visibles ou invisibles dans le monde.
Dans les Disciplines, le Bouddha enseigne des techniques qui, par l'application de quelques unes des lois naturelles, permettent d'atteindre la Connaissance suprême et la réalisation de l'ultime Vérité. Nous abordons dans ce chapitre la partie Doctrine.
Dans l'univers, les vérités sont en nombre infini. Elles sont à la disposition de tout le monde. Chacun, selon ses aptitudes, peut les observer et les étudier à sa guise. C'est ainsi que la science progresse chaque jour et que les chercheurs, dans tous les
domaines, font continuellement des découvertes et des inventions. Mais jusqu'à maintenant, malgré leur intelligence et leur ingéniosité, ils ne sont pas encore parvenus à découvrir la Vérité suprême, c'est à dire la Cause originelle de toutes les existences, la Réalité ultime de l'univers.

   Le Bouddha Çakya Mouni, grâce à la méditation profonde, a découvert la Cause originelle. H a réalisé la Vérité et a été libéré pour toujours de la mort et de la renaissance. H a atteint le Nirvana bienheureux et étemel.
Par amour et compassion pour l'humanité il partage avec elle sa connaissance et son expérience. H lui explique comment, en appliquant quelques lois naturelles, elle peut acquérir le bonheur parfait et l'immortalité.

Ces quelques lois naturelles sont:
la loi du noyau et des fruits 1 , et son corollaire,
le
principe du noyau et des associés
2 .

la loi de la non-permanence
3 et son corollaire,

le principe du non-moi 4.
le principe du Vrai Vide 5.

1 Luật nhân quả .
2 Lý nhân duyên.
3 Luật vô thýờng.
4 Lý vô ngã.
5 Lý chân không
1
SECTION 2
LA LOI DU NOYAU ET DES FRUITS.
LE PRINCIPE DU NOYAU ET DES ASSOCIÉS.
La loi du noyau et des fruits est une appellation imagée de la loi de la cause et des effets. Elle est une vérité évidente, si évidente que très peu de personnes y prêtent attention afin d'en tirer toutes les conséquences utiles» surtout quand elles sont subtiles et éloignées dans le temps et l'espace.

L'enseignement du Bouddha Çakya Mouni invite les fidèles à réfléchir sur les aspects suivants de la loi:
   1-Un noyau ne produit que des fruits de son espèce. Par exemple un noyau de pêche ne donne que des pêches et non des prunes; un noyau de mangue ne donne que des mangues et non des abricots.
Cette loi régit à la fois le monde physique et le monde mental. Une pensée positive et un bon sentiment produisent toujours des effets bienfaisants. Une pensée négative et un sentiment mauvais produisent toujours des conséquences néfastes.
   2-Les fruits existent déjà dans les noyaux. Ds n'attendent que le moment propice pour apparaître et mûrir. Fruits et noyaux,noyaux et fruits se succèdent indéfiniment si rien ne vient en interrompre le circuit.
   3-Un noyau, pour produire des fruits, a besoin
d'éléments extérieurs.
Par exemple, une graine de pastèque ne devient une plante, produisant plus tard des fruits, que si elle reçoit l'aide de la terre, du soleil, de l'air, de l'eau, etc... Les Écritures donnent à ces éléments extérieurs, apportant à un noyau leur assistance, le nom de "noyaux associés", ou "compagnons" (duyên).

Il faut remarquer que, suivant les circonstances, les noyaux associés (ou compagnons) peuvent produire des effets soit positifs soit négatifs. Positifs quand ils contribuent à l'évolution et à la maturité des fruits, négatifs quand ils retardent leur croissance ou la détruisent C'est le principe des interdépendances que les Écritures appellent "le principe du noyau et des associés". L'univers entier, on peut le constater facilement, est un réseau inextricable d'interdépendances (ou d'associations) visibles et invisibles dans l'espace et le temps.
   4-Les noyaux dans le monde physique peuvent produire des fruits dans le monde mental et vice-versa.
Par exemple, l'idée de vengeance (mental) engendre l'action de frapper ou de tuer (physique). Cette dernière action est la cause de châtiments soit physiques soit moraux dont les effets se font sentir à la fois sur le corps et sur l'esprit (emprisonnement, chagrin, désespoir, maladie, etc...). Les deux mondes mental et physique s'interpénétrent et agissent l'un sur l'autre comme s'il n'y a pas de séparation entre eux.
   5- Les noyaux produisent des fruits aux échéances qui leur conviennent.
Les fruits n'arrivent pas nécessairement à maturité dans la vie présente. La fructification peut se produire dans la vie prochaine, ou même plusieurs vies après. Avec un peu de réflexion, cette vérité subtile est facile à comprendre.
Nous avons, en effet, l'habitude de considérer le temps comme une suite de secondes, de minutes, d'heures, de jours, de mois, d'armées et de siècles, etc...Cependant, ces divisions ne sont que des bornes inventées par l'esprit humain pour jalonner quelque chose d'ininterrompu qui ne se divise pas par lui-même.
   Sans commencement ni fin, le temps est uni et perçu différemment par les créatures, suivant leurs espèces, leurs environnements,leurs constitutions physiques et mentales, etc...Leurs existences, variées à l'infini, se déroulent conformément à la loi du noyau et des fruits conjuguée avec le principe du noyau et des associés. Elles ne dépendent pas de l'écoulement des jours et des années ou des siècles.
L'exemple suivant illustre cette vérité. -«
     Dans des fouilles archéologiques récentes, on a découvert, dans un pays d'Europe, des grains de blé vieux de plus de 1.000 ans, conservés dans une huile, et dans une province de Chine des graines de lotus âgées de plus de 2.000 ans, conservées dans du miel.
Ces graines de lotus, placées dans l'eau, ont poussé et sont devenues des plantes normales produisant des fleurs. De leur côté, les grains de blé, mis dans le sol, ont germé, grandi et donné des épis.
   Ces constatations amènent dans notre esprit les réflexions suivantes:

Par rapport au blé et au lotus, l'huile et le miel ont été des associés négatifs: ils ont entravé leur évolution pendant des siècles.

   L'air, l'eau, le sol et la lumière ont été pour eux des associés positifs: ils les ont aidés à se développer et à produire des fruits et des fleurs.

- La vie du blé et du lotus ne dépendait pas de l'écoulement du temps mais de l'action des noyaux associés.

En outre, ces considérations font ressortir la vérité très importante suivante:
6-n' est possible d'accélérer, de retarder ou de détruire la vie évolutive d'un noyau (être ou chose) par l'action d'autres noyaux.
Dans son enseignement, le Bouddha Çakya Mouni utilise la puissance de l'interaction des noyaux pour délivrer l'homme de la souffrance et améliorer ainsi la destinée humaine.

    7-La destinée humaine est le résultat cumulé des actions, bonnes ou mauvaises, présentes et passées, de l'individu (les karmas).
Ces actions et leurs interactions déterminent les conditions d'existence ainsi que les milieux dans lesquels l'être humain est appelé à vivre.

D'après les Écritures, selon ses mérites, l'homme est susceptible de renaître, après la mort, dans l'un des six mondes suivants:
a/- le monde des anges,
b/- le monde des humains,
c/- le monde des esprits violents,
d/- le monde de l'enfer, e/- le monde des diables affamés,
f/- le monde des animaux.

Dans ces six mondes, la mort et la renaissance se poursuivent inlassablement comme une roue tournant sans arrêt. C'est la roue du samsara (luân M). Si l'on veut se libérer de cette ronde implacable, on doit, par un moyen quelconque, arrêter la roue du samsara. L'enseignement du Bouddha nous donne ce moyen.


   10
       SECTION 3
LA LOI DE LA NON-PERMANENCE ET LE PRINCIPE DU NON-MOI.
La non-permanence et le non-moi sont deux vérités connexes:
La non-permanence signifie que tout être et toute chose ne gardent pas longtemps le même état ou la même forme. Il sont changeants et éphémères.
Le non-moi signifie qu'aucun être ne possède un moi ou un soi individuel, constitué par une entité ou une substance durable qui lui est particulière. En d'autres termes,

le moi ou le soi
 
La non-permanence.
 
     La non-permanence est une vérité que l'on peut observer facilement. Les êtres et les choses, depuis les plus petits jusqu'aux plus grands, sont changeants et éphémères. Leurs existences passent nécessairement par quatre phases successives: la naissance, la croissance, la vieillesse et la mort, pour les êtres; la formation, la consolidation, la détérioration et la destruction, pour les choses.
     Généralement on attribue à chacune de ces phases une durée relativevement longue dans notre concept du temps: de quelques jours à quelques semaines, par exemple, pour une plante ou un insecte; de quelques mois à quelques années pour un arbre ou un animal; des millions à des milliards d'années pour une montagne ou une étoile, etc...
   Mais dans la vision du Bouddha, ces différentes phases ne durent même pas un clin d'oeil ou l'éclair d'une pensée. On peut s'en faire une idée en regardant le courant rapide d'un fleuve. L'eau qui coule devant nos yeux n'est à aucun instant la même que celle de l'instant d'avant. Nous ne regardons jamais la même eau...
Ainsi passent rapidement les êtres et les choses de ce monde. Ils apparaissent sur l'écran de l'univers comme les personnages et les objets apparaissent sur l'écran de cinéma: chaque forme résulte de la succession rapide d'un très grand nombre d'images. Le corps humain, qui paraît unique, est en réalité une succession d'une infinité de corps, chacun étant le fruit de celui qui précède et le noyau de celui qui arrive. Les Ecritures enseignent que notre corps change 6.400.099.980 fois en l'espace d'une journée. L'extrême rapidité des changements crée l'illusion de l'existence d'un seul corps.
   Le non-moi.
Le non-moi est une vérité subtile.
Quand une personne dit: "je", "moi"; ce "je" ou ce "moi", où se trouve-t-il?
Est-il dans le corps physique? Est-il dans le mental? Ou est-il dans l'association "corps-mental", appelée communément l'ego?
     a/- Examinons d'abord le corps physique.
Les Écritures font savoir qu'il est formé par quatre éléments fondamentaux répandus partout dans la nature:

   1
la terre, ou élément solide (os, muscles,tendons, etc...)
   2 l'eau, ou élément liquide (sang, larme, urine,etc...)
   3 le feu, ou élément calorifique (chaleur interne,énergie...)
   4 le vent, ou élément gazeux (air, différents gaz...)
Lequel de ces quatre éléments dans le corps humain constitue le moi?

Considérons par exemple l'élément gazeux. L'air, quand il est dans l'atmosphère, n'est la propriété de personne. Dès qu'il est aspiré dans nos poumons, on dit qu'il nous appartient. Mais aussitôt expiré et absorbé par un animal ou un végétal, on dit qu'il leur appartient. Changeant ainsi continuellement de propriétaires, l'air ne peut être ni le moi de l'homme ni le soi de ranimai (ou du végétal).
ïl en est de même des trois autres éléments du corps: solide, liquide et calorifique.
    b/- Examinons le mental.
Les Écritures enseignent que le mental est constitué par une multitude d'éléments invisibles, rangés dans quatre groupes princjpaux:
1
les sensations.
2 les perceptions.
3 les activités psychiques.
4 la conscience physique.
Tous ces éléments changent continuellement selon les circonstances. Essentiellement éphémères, ils ne peuvent donc être considérés, soit dans leur ensemble, soit séparément, comme le moi de l'homme.

c/- Examinons enfin l'association corps-mental.
Toute association est éphémère par nature car elle ne dure qu'un temps.
Dans l'être humain, l'association corps-mental prend fin à la mort de l'individu. À cet instant, chaque élément se sépare de l'autre: l'ego n'existe plus. // n'est donc pas le moi réel de l'homme.
Pourtant les gens ignorent cette grande vérité. Us s'identifient avec l'ego et lui accordent une importance excessive. Ds obéissent aveuglément à ses volontés et commettent, sous son impulsion, des erreurs et des péchés.
L'ego est un faux moi (vong ngâ), un non-moi (vô ngã)
Le sage est maître de son ego et le dirige vers la lumière de la Vérité. L'homme du monde, par contre, se soumet aux exigences de l'ego et se conduit à son égard comme un esclave.
Les Écritures donnent à l'ego le nom de "corps aux cinq réceptacles (ngû uân) ou "corps aux cinq couvercles" (ngû âm). Les cinq réceptacles (ou couvercles) sont:

le corps physique.

les sensations.

les perceptions.

les activités psychiques.

la conscience matérielle.

Ce sont des réceptacles parce qu'ils emmagasinent la souffrance, la maladie, la vieillesse et la mort. Ce sont des couvercles parce qu'ils empêchent l'homme de recevoir la lumière de la Vérité.

disent les Écritures. fl est la cause de la souffrance et des malheurs dans le monde.

   Ne recevant pas la lumière de la Vérité, l'être humain vit continuellement dans l'illusion, la crainte et la souffrance.
Les Écritures donnent cet exemple:
Une personne entre, le soir, dans une pièce obscure. Elle voit un gros serpent se lovant dans un coin. Effrayée, elle appelle au secours. Quelqu'un arrive immédiatement avec une lampe. À la lumière, elle se rend compte que le terrible serpent est un rouleau de corde!...
   Ainsi l'univers vrai n'est pas celui qu'on voit avec les yeux et qu'on connaît par les sens. Ceux-ci ne donnent pas l'image exacte de la Vérité, de la Réalité.
Un dicton indien dit:
   "Quand on voit le chien, on ne voit pas les pierres. Quand on voit les pierres, on ne voit pas le chien."
Dans la nuit, un passant voit au bord de la route un chien s'apprêtant à bondir sur lui pour le mordre. Pris de peur, il s'enfuit à toutes jambes. Le lendemain matin, revenant sur les lieux, il constate que le chien terrifiant d'hier n'est qu'un amas de pierres!...
11
 

SECTION 4

LE PRINCIPE DU VRAI VIDE
L'univers que nous voyons avec les yeux et connaissons par les sens étant une illusion, il doit exister en ses lieu et place un autre univers, le vrai.
Cet univers est appelé, dans les Écritures, le Vrai Vide (en vietnamien: Chân không (en sanscrit: Sunyata)).

Le terme "vide" ne signifie pas ici: ce qui n'existe pas, ou qui ne contient rien.
Il désigne, au contraire, quelque chose de réel mais qui est ineffable, au delà de l'entendement, donc de la connaissance ordinaire. Ce quelque chose est l'Existence de toutes les
existences, la Cause de l'univers, le Principe premier de la création.
Il est non-né et, par conséquent, n'est pas assujetti à la loi du noyau et des fruits. H est intelligent, actif, omniprésent, sans forme, sans commencement ni fin. Il contient tout: rien ne peut exister sans lui et hors de lui. Le nom complet qu'on lui donne dans les Écritures est: "Vide merveilleusement plein" (en vietnamien: Chân không dịệu hữu).

Dans son état de conscience actuel, l'homme est incapable de voir le vrai Vrai Vide, aussi ne croit-il pas à son existence. Mais cette attitude négative n'empêche pas le Vrai Vide d'être éternellement là. L'exemple suivant va le montrer:
Supposons que l'univers entier est uniformément de couleur blanche. H nous sera alors impossible de dire qu'il est blanc car il n'y a pas d'autres couleurs pour faire la comparaison. La notion même de blancheur n'existe pas dans notre esprit. Pourtant la couleur blanche est bien là, devant nos yeux, puiqu'elle est la couleur de l'univers et de nous-mêmes. Nier cette évidence est tout simplement de l'ignorance.
Existant seul avant toute création, le Vrai Vide, immuable et indestructible, n'a pas de nom. Pour le désigner, les gens lui donnent une grande quantité d'appellations, suivant les points de vue auxquels ils se placent pour en parler. En voici quelques unes souvent citées: Vérité (Chân 1ý), Réalité (Thật thể), Vraie Nature (Chân tánh), Vrai Moi (Chân Ngâ), Étemel Visage (Ban Lai Diên Muc), Vraie Forme (Chân Týớng), Vrai Cœur (Chân Târn), Vrai Identique (Chân Nhý), Vrai Immuable (Nhý Lai), Nature de Bouddha (Phật tánh), Forme de Bouddha (Phật Týớng), Loi Suprême (Pháp Výõng).

On peut attribuer au Vrai Vide toute autre appellation, sachant cependant que "Cela" reste éternellement au-delà de tout nom et de toute forme.
La Vérité ou la Réalité Suprême est douée d'une quantité infinie de vertus, toutes au plus haut degré de grandeur et de perfection: bonté, beauté, joie, paix, liberté, amour, compassion, calme, pureté, patience, courage, persévérance, intelligence, etc...
À cause de la non-connaissance de sa vraie nature pure et immortelle, l'être humain vit dans l'illusion, la peur et la souffrance. Quand, grâce à l'enseignement du Bouddha, il aura réalisé son vrai Moi, il sera parfaitement libre et éternellement heureux. H résidera alors au Nirvana (Niët Ban) dont le sens est: "qui ne naît ni ne meurt"

.12

 
à suivre CHAPITRE II

"À l'humanité plongée dans les ténèbres de l'ignorance, j'apporte la lumière.

 

éclatante de la Vérité. Je lui apporte la libération de la souffrance, de la vieillesse et de la mort."

 Le Bouddha Çakya Mounl

 

 à Jeudi prochain...

 

 

 

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commentaires
C
La beauté des théorèmes et corollaires comparée à la beauté des fleurs.(fermaton.over-blog.com)
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C
<br /> Blog(fermaton.over-blog.com),No-7. THÉORÈME 2 VOIES. - Dieu calcule et le monde se fait.<br />
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